Voici le récapitulatif 2022 avec les photos prises lors de sorties autour du domicile et celles prises lors d’escapades.
Les photos prises en Dordogne ou autour de Toulouse :
Beaucoup de photos (inédites) avec un air de déjà vu (héron, aigrette, passereaux, rapaces, couleuvre à collier…) et 4 sujets nouveaux donc un sujet emblématique de la Dordogne réputé « invisible ». Ces belles rencontres ont eu lieu surtout sur la fin de l’année.
Les diaporama sont fait pour être regardés plein écran (carré en haut à droite)
Pour le prochain diaporama, si votre cerveau reptilien n’a pas l’esprit de famille, passer votre chemin…
Comme vu dans les photos, le sujet invisible est la loutre et les 3 autres sujets nouveaux sont la couleuvre verte et jaune, le râle d’eau et le hibou grand duc (découverte du site grâce à une sortie LPO). Le râle et le renard ont été photographiés dans un marais aménagé que j’ai découvert récemment à Groléjac.
A Toulouse, photo peu esthétique des Tarentes de Maurétanie: déjà croisée dans le massif de la clape et à Malte, elles sont bien présentes la nuit sur certains bâtiments d’Aucamville.
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Les sorties « vacances » avec Sylvie ou sorties photos :
Sortie à Arcachon et à la réserve du tech pour le 1er Janvier. Photos de limicoles.
Sortie au marais d’Orx lors d’une virée de 2 jours à Capbreton.
La sortie « photos animalières » de l’année dans le Vercors (en moto) à la recherche des Bouquetins(Fautes de trouver les bouquetins ibères lâchés dans les Pyrénées): 3 jours de marche dans le Vercors avec quelques belles rencontres et un jour consacré à la résistance dans le Vercors avec une histoire particulière au Vercors qui avait proclamé la république du Vercors le 14 Juillet 1944.
Minute Pub (Contre la pub qui fait « dé – penser »).
Quand le prix baisse, c’est que le plat a été réalisé industriellement. C’est à dire pas seulement en grande quantité mais avec des experts sur le livre des comptes pour garantir une bonne marge. Voilà comment ça se traduit avec le cordon bleu industriel d’après un article du monde :
« Une escalope de dinde, du fromage, du jambon, de la chapelure et un œuf : pour préparer un cordon bleu, il faut cinq ingrédients.
Mais celui du supermarché en compte plus de trente. Un quart est constitué de chapelure, non pas de vrai pain, mais d’eau et d’amidon modifié. Il n’y a plus de viande, que de la préparation de viande : un aggloméré de peau, d’aile et de cuisse, de dextrose, de fibre de blé pour la texture (les fibres retiennent l’eau et gonflent artificiellement le produit), de sels nitrités pour la couleur et la conservation – l’emballage indique pourtant « 100% filet de poulet ».
Plus de fromage, mais une préparation fromagère qui contient des additifs pour la brillance et le fondant, des agents tensioactifs comme les sels de fonte pour que la préparation soit plus homogène, des conservateurs (polyphosphates et citrates de sodium), un correcteur d’acidité, un émulsifiant, des arômes, des colorants, du sucre, du glutamate. Pour fabriquer le jambon, on utilise un additif pour la conservation – sauf que l’odeur obtenue n’est pas parfaite, donc un autre additif ; le résultat est trop élastique, donc encore un autre… qui rend le jambon trop acide. L’indispensable correcteur d’acidité modifie à son tour la couleur. Un pigment ferra l’affaire. Une affaire infinie, une affaire d’assemblage, mais plus de cuisine. »
Une tarte aux cerises suit le même « circuit avec en autre une décoloration des cerises et une coloration chimique pour plus d’homogénéité.
Un seul message : attention aux prix bas pour la nourriture.
(Nourriture industrielle « subventionnée » : c’est l’état qui prend en charge les impacts sur la santé (la sécurité sociale), le traitements des déchets domestiques et industriels et probablement j’en oublie)